Le DOJO-ECOLE de l'Est Parisien, "Ann Jyou Kan"

 

http://dojo-ecole-est.paris/

 

Le terme  « DOJO », il désigne le lieu d’entraînement des arts martiaux japonais dans le sens du « le lieu de l’éveil » ou encore comme « le lieu où l’on cherche la Voie ». La voie s’entend comme un processus, une concrétisation, il s’agit de faire devenir.

 

Le DOJO-ECOLE de l'Est Parisien comprend un accueil - une salle parquet de 66m² - un dojo équipé de tatamis de 135m² - une salle de convivialité.

Ce dojo fonctionne grâce à une coordination d’écoles traditionnelles de pratiques martiales, énergétiques et culturelles. Une école traditionnelle s'inscrit dans une lignée, cette transmission assure un label qualité connue et éprouvée. Et dans ce cadre du dojo elle respecte la législation française. 

Une quinzaine d'associations regroupent des enseignants diplômés, proposent des cours hebdomadaires, des stages et des évènements. Plus de trois cent usagers participent à la vie du lieu : des enfants (kung fu, aikido, éveil corporel), des adoslescents (aikido, kung fu, kendo), des adultes et des séniors (feldenkrais, qi gong...).

 

 

La pratique des arts martiaux traditionnels dans un dojo s’appuie sur une « vie collective » :

Le dojo est un lieu de vie un espace où il est possible de développer la relation à soi-même et aux autres non seulement dans chaque discipline mais aussi dans l’espace commun à travers des « tâches » très concrètes comme l’accueil, l’entretien des lieux, la sérénité du dojo... 

D'avril 2006 à juin 2014, le dojo a fonctionné avec du matériel récupéré. Pendant les trois mois de cet été 2014, nous avons entrepris des travaux de rénovation : parquet, tatamis, réaménagement... pour démarrer en septembre avec un dojo tout neuf. Merci à tous ceux qui ont rendu cela possible.

Les Pratiques énergétiques et culturelles font partie intégrante de l'étude des voies martiales.

Ouverture à la collectivité :

il s’agit de mettre la structure d’une école traditionnelle d’arts martiaux au service de la collectivité, d’en faire de façon active un facteur de mixité sociale et culturelle. Cette volonté est mise en œuvre à travers des actions en direction des publics et des jeunes en difficulté en partenariat avec les association comme "Jeunesse Feu Vert" ou encore le centre social Archipélia.